Depuis deux ans, nos réseaux dialoguent (par le biais de la fédération nationale), prennent position et sont en alerte sur la question de l’apprentissage du français pour les personnes non francophones. Nous craignons en effet que les évolutions dans l’attribution des financements publics pour ces actions ne mettent profondément en cause nos principes et objectifs, ne dénaturent nos actions et les instrumentalisent au service d’une politique publique. Nous revendiquons par exemple l’accueil inconditionnel de tout public tandis que l’Etat conditionne son appui à l’accueil d’un certain type de population (les primo-arrivants).
N’hésitez pas à signer le manifeste!